1930 MON PREMIER CHAMPAGNE
1930
Au printemps 1930 (ou
31), j’ai eu les oreillons comme la majorité des enfants scolarisés de
l’époque. Cela a été une forte épidémie, impossible d’ouvrir les mâchoires
durant plusieurs jours !
Un soir, papa, fort ennuyé, me propose un petit
verre de champagne avec des biscuits cuillers champagne (les boudoirs de
l’époque).
C’était
tellement bon et facile à manger que j’en ai gardé le souvenir…
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